Nombre de pages: 336
Editeurs: Hachette/Hildegarde
Date de sortie: Octobre 2014
VO: France
Eliott, 12 ans, est un garçon en apparence comme tous les autres. Jusqu’au jour où il découvre un sablier magique qui lui permet de voyager dans un monde aussi merveilleux que dangereux : Oniria, le monde des rêves. Un monde où prennent vie les milliards de personnages, d’univers, et toutes les choses les plus folles et les plus effrayantes rêvées chaque nuit par les êtres humains. Collégien ordinaire le jour, Eliott devient la nuit, parmi les rêves et les cauchemars qui peuplent Oniria, un puissant Créateur, qui peut faire apparaître tout ce qu’il souhaite par le simple et immense pouvoir de son imagination. En explorant Oniria pour sauver son père, plongé depuis plusieurs mois dans un mystérieux sommeil, Eliott est finalement confronté à son extraordinaire destin. Car Eliott est l’ « Envoyé » : il doit sauver le Royaume des rêves, menacé par la sanglante révolution des cauchemars
Ce résumé et cette couverture colorée m'ont immédiatement tapée dans l'oeil quand j'ai découvert Oniria dans le catalogue d'Hachette. Dès que j'ai vu ce livre, j'ai su qu'il fallait absolument que je le lise. Il a pas l'air génial franchement? *.* Ca s'annonce léger, colorée, merveilleux! Au final, cette jolie histoire a été une découverte fantastique! Oniria m'a passionnée ! Mille mercis à toute l'équipe d'Hachette pour m'avoir permis de passer un aussi bon moment en compagnie d'Eliott !!
Oniria commence en introduisant Eliott, petit garçon qui fait des terreurs nocturnes depuis que sa mère est morte dans son sommeil et sa grand-mère Louise. Deux personnages capitaux dans Oniria. Dès le début, on apprend que Louise connaît Oniria. Elle conte ses propres aventures dans ce monde à son petit-fils avant qu'il ne s'endorme. J'ai aimé qu'un personnage soit déjà au courant de tout l'aspect fantastique du livre! Ca change d'une personne lambda se retrouvant sur un autre monde sans vraiment comprendre ce qui lui arrive.
Dans cette histoire, on passe beaucoup de temps dans notre monde. Il faut dire qu'Eliott n'a pas une vie facile et heureuse. Depuis 6 mois, son père est très malade et il est à l'hôpital. Il vit avec sa belle-mère, sa grand-mère et ses demi-soeurs. Sa belle-mère est une vraie garce! Obsédée par son travail, elle passe son temps pendue à son téléphone portable. Elle s'occupe peu d'Eliott et de ses filles et laisse Louise s'en charger. Qui est d'ailleurs le seul réconfort d'Eliott, sa bouée de sauvetage. Sa belle-mère est méchante et sans coeur. Bref, un monstre.
En plus de ça, Eliott se fait persécuter à l'école par les élèves qui ne l'apprécient pas vraiment. Vous pouvez donc vous imaginer qu'avec tout ça, on a pas de quoi s'ennuyer!
Il y a énormément de rebondissements de ce "côté" de l'histoire, et j'avais peur que ces passages en comparaison avec ceux d'Oniria m'ennuie un peu. Au final, alterner les "deux vies" d'Eliott permet une coupure quand l'un des deux mondes commencent à être lassant. J'ai trouvé que l'auteur a découpée son ouvrage de manière à permettre un confort de lecture maximum au lecteur.
Je ne vous dirais pas dans quelles circonstances on en vient à découvrir Oniria. Même si on se doute un peu au fil de l'histoire ce qui va se passer, ça serait quand même un sacré spoil de mon point de vue. En tout cas, l'univers de l'auteur m'a bluffée. A chaque fois que je refermais mon livre, j'espérais qu'une chose : qu'Oniria existe. Elle nous décrit un monde TELLEMENT magique, tellement merveilleux ! Le monde d'Oniria et sa population a été crée par les rêves des habitants du monde entier. Chacun vient y ajouter sa pierre. Exemple du livre: le Louvre existe sur Oniria. Mais selon les rêveurs qui passent il changera de forme!
Une fois le rêveur parti d'Oniria, tout ce petit monde continu à vivre.
Oniria est le monde du rêve mais il fait surtout rêver. Un monde où vous pouvez faire apparaître ce que vous voulez. Seulement en l'imaginant. Un monde où vous pouvez vous déplacer dans l'endroit que vous le souhaitez en le visualisant. S'il existe, vous y allez. Sinon, vous le créez. Mais c'est pas le pied sincèrement?! Pour moi qui dessine énormément, un monde pareil avec une capacité pareille ça serait mon utopie *.* Ah mais! J'ai vraiment été envoûtée par Oniria. L'imagination de l'auteur m'a engloutie et pendant mes quelques heures de lectures, je n'étais clairement plus en France, dans mon lit. Non non, j'étais loin, très loin!
En plus de ça, l'auteur crée une organisation précise sur Oniria. Une "police" des cauchemars, une Reine, le marchand de sable: une puissance incontestée. Bien sûr, tout n'est pas rose et on se rend vite compte que certains enjeux sont là et que notre Eliott va jouer sa vie pendant ses balades nocturnes.
Pour l'aider dans sa quête, il peut compter sur sa mamie préférée qui connaît déjà bien Oniria. Mais, elle n'y est pas allée depuis de nombreuses années. Ca a bien changé! Il va également rencontrer plusieurs personnages qui vont l'aider dans sa quête sur Oniria. Des personnages hauts en couleurs pas mal amusant!
Le seul défaut du livre: Il est indéniablement trop court. Une frustration intense que sont ces 330 pages. J'aurais aimé avoir 1 000 pages d'Oniria! 1 000 pages de cette imagination qui m'ont transportée. Un grand bravo à l'auteur, ce livre est une réussite du début à la fin. Je sais que beaucoup sont tentés par Oniria. MAIS QU'EST-CE QUE VOUS ATTENDEZ?! :o
Oniria commence en introduisant Eliott, petit garçon qui fait des terreurs nocturnes depuis que sa mère est morte dans son sommeil et sa grand-mère Louise. Deux personnages capitaux dans Oniria. Dès le début, on apprend que Louise connaît Oniria. Elle conte ses propres aventures dans ce monde à son petit-fils avant qu'il ne s'endorme. J'ai aimé qu'un personnage soit déjà au courant de tout l'aspect fantastique du livre! Ca change d'une personne lambda se retrouvant sur un autre monde sans vraiment comprendre ce qui lui arrive.
Dans cette histoire, on passe beaucoup de temps dans notre monde. Il faut dire qu'Eliott n'a pas une vie facile et heureuse. Depuis 6 mois, son père est très malade et il est à l'hôpital. Il vit avec sa belle-mère, sa grand-mère et ses demi-soeurs. Sa belle-mère est une vraie garce! Obsédée par son travail, elle passe son temps pendue à son téléphone portable. Elle s'occupe peu d'Eliott et de ses filles et laisse Louise s'en charger. Qui est d'ailleurs le seul réconfort d'Eliott, sa bouée de sauvetage. Sa belle-mère est méchante et sans coeur. Bref, un monstre.
En plus de ça, Eliott se fait persécuter à l'école par les élèves qui ne l'apprécient pas vraiment. Vous pouvez donc vous imaginer qu'avec tout ça, on a pas de quoi s'ennuyer!
Il y a énormément de rebondissements de ce "côté" de l'histoire, et j'avais peur que ces passages en comparaison avec ceux d'Oniria m'ennuie un peu. Au final, alterner les "deux vies" d'Eliott permet une coupure quand l'un des deux mondes commencent à être lassant. J'ai trouvé que l'auteur a découpée son ouvrage de manière à permettre un confort de lecture maximum au lecteur.
Je ne vous dirais pas dans quelles circonstances on en vient à découvrir Oniria. Même si on se doute un peu au fil de l'histoire ce qui va se passer, ça serait quand même un sacré spoil de mon point de vue. En tout cas, l'univers de l'auteur m'a bluffée. A chaque fois que je refermais mon livre, j'espérais qu'une chose : qu'Oniria existe. Elle nous décrit un monde TELLEMENT magique, tellement merveilleux ! Le monde d'Oniria et sa population a été crée par les rêves des habitants du monde entier. Chacun vient y ajouter sa pierre. Exemple du livre: le Louvre existe sur Oniria. Mais selon les rêveurs qui passent il changera de forme!
Une fois le rêveur parti d'Oniria, tout ce petit monde continu à vivre.
Oniria est le monde du rêve mais il fait surtout rêver. Un monde où vous pouvez faire apparaître ce que vous voulez. Seulement en l'imaginant. Un monde où vous pouvez vous déplacer dans l'endroit que vous le souhaitez en le visualisant. S'il existe, vous y allez. Sinon, vous le créez. Mais c'est pas le pied sincèrement?! Pour moi qui dessine énormément, un monde pareil avec une capacité pareille ça serait mon utopie *.* Ah mais! J'ai vraiment été envoûtée par Oniria. L'imagination de l'auteur m'a engloutie et pendant mes quelques heures de lectures, je n'étais clairement plus en France, dans mon lit. Non non, j'étais loin, très loin!
En plus de ça, l'auteur crée une organisation précise sur Oniria. Une "police" des cauchemars, une Reine, le marchand de sable: une puissance incontestée. Bien sûr, tout n'est pas rose et on se rend vite compte que certains enjeux sont là et que notre Eliott va jouer sa vie pendant ses balades nocturnes.
Pour l'aider dans sa quête, il peut compter sur sa mamie préférée qui connaît déjà bien Oniria. Mais, elle n'y est pas allée depuis de nombreuses années. Ca a bien changé! Il va également rencontrer plusieurs personnages qui vont l'aider dans sa quête sur Oniria. Des personnages hauts en couleurs pas mal amusant!
Le seul défaut du livre: Il est indéniablement trop court. Une frustration intense que sont ces 330 pages. J'aurais aimé avoir 1 000 pages d'Oniria! 1 000 pages de cette imagination qui m'ont transportée. Un grand bravo à l'auteur, ce livre est une réussite du début à la fin. Je sais que beaucoup sont tentés par Oniria. MAIS QU'EST-CE QUE VOUS ATTENDEZ?! :o
Pfiou. De l'imagination à l'état brut. Je me suis laissée porter par les inventions de l'auteur. Le monde d'Oniria a été un GROS coup de coeur pour moi! Je pense que, quand on arrive à dégouter le lecteur que le monde que l'on crée n'existe pas, on tient le bon bout haha! Un grand bravo à l'auteur qui m'a fait rêver.
Eliott est un personnage très attachant! Il a pleins de problèmes et n'est pas surhumain. Un garçon proche de la réalité qui tombe des nues quand il apprend l'existence de ce monde. Une réaction naturelle qui manque souvent :')
Ces nouveaux compagnons sur Oniria sont marrants! Bon, il y en a un qui est particulièrement lourd, mais il a une capacité juste trop bien *.* Ca aussi ça m'a fait rêver hahaha
Sinon, ses petites soeurs m'ont énervées à plusieurs reprises. Et la belle-mère mais je vous en parle même pas! Une horreur! Tellement que j'ai fait l'impasse sur son nom O_O Christelle? Christine? Ma foi !
Comme dit dans ma chronique, l'auteur sait doser les différents mondes. Ca crée un dynamisme qui permet de se ré-intéresser au récit!
Bon, il y a certaines choses un poil prévisible mais dans l'ensemble, j'ai aimé comment s'est découpé l'histoire. Par contre, c'est quoi cette fin?! Comment vous avez pu couper à cet endroit ;__; Quelle horreur haha ! Quelle frustration...
Une écriture qui m'a emportée! J'ai aimé voir qu'elle n'était pas trop simpliste vu le public visé! Ca fait plaisir de voir un très joli style, avec parfois des mots un poil compliqué malgré la tranche d'âge visée ;)
MERCI, j'attendais un avis parfait le voilà. Hop Wishlist !
RépondreSupprimerAaaw :') Je suis contente que ça te donne envie de le lire c:
SupprimerTiens le résumé m'a tout de suite fait penser à la saga Dreamland de Reno Lemaire. Je ne sais pas si tu connais ? Mais la comparaison semble s'arrêter là, si j'en crois ta chronique. :)
RépondreSupprimerNon du tout :o Je regarderai ce que c'est ^^
SupprimerJe vais l'avoir pour Noël, avec tout un tas d'avis comme le tien ça va être dur d'attendre pour le lire :3
RépondreSupprimerMerci :D
SupprimerJ'ai ce livre dans ma wishlist et plus j'en lis des chroniques, plus ça donne envie.
RépondreSupprimerMais "Un monde où vous pouvez faire apparaître ce que vous voulez. Seulement en l'imaginant. Un monde où vous pouvez vous déplacer dans l'endroit que vous le souhaitez en le visualisant", ça, ça m'a méga frustrée.
C'est un peu beaucoup le principe de mon bordel histoire/ univers/ roman que j'arrive plus/ pas à écrire/ finir.
Faudrait que je le fasse un jour avant que je vois des idées un peu dispachées partout qui me dégouteraient pour de bon de l'écrire... T.T
Tu m'étonnes! Il est génial! Si tu veux je te le prêterai !
SupprimerAh bon? Ouais 'fin, c'est quand même différent toi :3 C'est plus.. "Gros" xD
Ouais.. Moi quand je vois des choses qui me font penser au miens, j'ai plus du tout envie haha ^^'